samedi 14 février 2009

Bon voila, faisons bouger les choses davantage, j'ai lu l'idée de http://kokopelitude.blogspot.com/2009/02/idees.html(Izabelle) Faire une sorte d'exposition ou oeuvre totale... je trouve l'idée intéressente et j'invite les gens à aller voir son blog:p c'est drôle son idée d'immense personnage avec des sous sections selon des thèmes différents comme le drame, l'environnement, les monstres intérieurs...etc ca ma fait penser que tous, dans un groupe ou seulement un individu veulent exister, Dans mon cas à moi, ces temps-ci je souhaite exister (pas dans le sens de déprimé de la vie) mais comprendre pourquoi je suis en art, m'y confronter justement? Pourquoi le groupe n'est pas aller au party et que d'autre oui? Peut-être avait-il envie d'exister et être davantage pris en considération. Moi à travers le groupe en art j'aimerais exister dans le sens de prendre part au monde et de le changer et être reconnu non pas pour ma personne mais pour l'action artistique qui a amené à changer le monde : Exemple la question du prof c'est : Confronter les gens à l'art ? Faut se poser comme question c'est quoi l'art? le rôle de l'artiste... donc avec l'idée d'Isabelle et d'un peu tout le monde sans réunir et brimer les gens faire un espèce d'exposition en forme d'artiste...ou je sais pas en forme de personnage quelquonque et que cette oeuvre soit en quelque sorte une action artistique pour changer le monde...voila un petit texte...certains passages sont intéressents d'autres moins..et un peu biaisé enfin d'apres moi.



Voici un petit texte trouvé sur un blog à propos du rôle de l'artiste :
http://www.formes-vives.org/blog/index.php?2008/07/21/213-le-rle-de-lartiste-nest-plus-de-reprsenter-le-monde-mais-de-le-transformer

'' La question de fond, c’est de repenser les logiques et la définition de l’art et de la lutte. Dans une société qui pratique le suicide collectif, comment lutter ? comment mettre en œuvre la créativité ? Changer de logique, ça veut dire passer à «l’éco-logique». On peut pour cela s’inspirer des peuples indigènes : tout est connecté. Il n’y a pas de processus linéaire, mais des cycles. Il n’y a pas de leader, mais des réseaux d’interdépendance. Cette éco-logique, on doit l’appliquer à nos vies, dans toutes leurs dimensions : sociale, économique, artistique, militante, etc. C’est fondamental, comme point de départ. Parce que la plupart des éléments de la politique traditionnelle sont ennuyeux : des réunions, et encore des réunions; des think-tanks et encore des think-tanks ; des manifs, et encore des manifs, au final, c’est au final, c’est emmerdant. C’est assommant, même. La grande question qui se pose, le défi des imaginaires subversifs, c’est de créer des formes de lutte qui font envie, qui donnent du plaisir : des formes de luttes qui ne soient pas qu’opposition, mais qui donnent à voir de l’utopie, qui s’ouvrent sur d’autres mondes. Le rôle de l’artiste ce n’est plus de représenter le monde : Le rôle de l’artiste, ce n’est plus de représenter le monde, mais de le transformer. Et pour moi, ça veut dire qu’il faut travailler, en tant qu’artiste, dans les luttes. Le matériau, ce n’est plus la vidéo, le théâtre, le métal, des couleurs, etc. Le matériel de l’artiste, désormais, ce sont les luttes elles-mêmes, les luttes et leurs formes d’organisation. La créativité doit être à leur service. Nous savons désormais que la beauté est dans la rue, que la poésie est sous les pavés. Nous savons que les meilleurs spectacles n’ont pas lieu dans les théâtres : ils commencent un peu partout, dès lors qu’on refuse la réalité qui nous est présentée. ''

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